Défilé étroit des images biaisées par les ans
Un jour, toujours comme un autre
Comment s'appuyer contre les marches du temps ?
Travail, patrie, rudesse des parcours connus comme les doigts
Comment s'appuyer contre les marches du temps ?
Travail, patrie, rudesse des parcours connus comme les doigts
Le rythme est absent de la surface
Les heures passablement désenchantées
Est-on donc toujours en Novembre ?
Les lointaines envergures sont suspendues dans l'invisible
Travail, chemin inamovible du trajet
A noyer tous les agendas du monde dans un verre d'eau
Travail, chemin inamovible du trajet
A noyer tous les agendas du monde dans un verre d'eau
L'allure est molle, le pas sournois
Est-on encore demain ?
La plaine grasse s'étend sans lien, on s'endort les paumes ouvertes
La plaine grasse s'étend sans lien, on s'endort les paumes ouvertes
A croire que le temps est accolé au trajet qui recule
Faute de mener quelque part
Là–bas vers certains des penchants
Là–bas vers certains des penchants
Qu'on inscrirait volontiers les yeux fermés
Au programme implacable des exaltations.
Un jour de Janvier 2012
Au programme implacable des exaltations.
Un jour de Janvier 2012